1181, sur une falaise d'Irlande, la poétesse et prophétesse Forgaill est brûlée vive, accusée de sorcellerie... Huit cents ans plus tard, Bran et Alyz, un couple de musiciens, s'installent dans un manoir datant du XIIè siècle. Sous le nom de La Mort peut danser, ils donnent des concerts dont le succès va grandissant, probablement à cause de la puissance surnaturelle qui anime la voix d'Alyz. Inspiré des légendes celtiques, riche des couleurs et de la beauté sauvage de l'Irlande, ce roman renouvelle magistralement le thème de la possession.
Jean-Marc Ligny, né en 1956, vient d'être récompensé par le prix Rosny Aîné 1999 pour son roman Jihad. Son oeuvre traduit souvent sa passion pour la musique : on se souviendra de Furia !, Yoro Si. Avec La Mort peut danser, il rend un puissant hommage au groupe Dead Can Dance et à sa chanteuse Lisa Gerrard.